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Pages Opération Cadillac

 

Photo Alain Opération Cadillac
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La Maresque Loubressac      Route D14 à coté du champ de panneaux solaires

 

Point GPS Américain

Footman-Lilas : Lot (code de zone 8)- Terrain : La Maresque, Loubressac (près de D14) - 12 kms S.E. Vayrac / 11 km N.E. Gramat. (44°51’45" N. 01°47’26" E.)

 

 

Le 14 juillet 1944 eut lieu sur le plateau de Loubressac l'un des plus importants parachutages de la seconde guerre mondiale.
Il permit la distribution de 110 tonnes d'armes aux Maquis du Lot. Pour la circonstance, 48 chars à bœufs, 38 camions et 1500 hommes furent nécessaires : environ 500 conteneurs avaient été largués.

 

                                        Pour plus de renseignements

95e groupe de bombes

  • Hiérarchie des unités : groupe
  • Armée de l'air : Huitième armée de l'air
  • Catégorie de type : Bombardement

Le 95th Bomb Group était le seul Huitième Air Force Group à recevoir trois Distinguished Unit Citations. Le premier, partagé par les quatre Bomb Wing Groups, était pour le bombardement d'une usine d'avions sous le feu intense de l'ennemi à Ratisbonne le 17 août 1943. Le second a été décerné pour un raid sur les gares de triage à Munster le 10 octobre 1943 et le troisième pour bombardant une banlieue de Berlin, le 4 mars 1944, première fois que la capitale allemande était bombardée par l'USAAF. Après le jour de la victoire, le Groupe a transporté des prisonniers libérés et des personnes déplacées d'Autriche vers la France et l'Angleterre.

A effectué un total de 321 missions de combat entre le 13 mai 1943 et le 20 avril 1945 A largué 19 769 tonnes de bombes et 456,5 tonnes de nourriture A
effectué 8 625 sorties
A perdu 156 B17 au combat, 36 dans d'autres opérations
1 362 avions ont été endommagés au combat et 61 forcés d'atterrir sur le continent
Réclamé 425 avions ennemis détruits, 117 probables, 231 endommagés.
Perdu 569 hommes KIA et 3 MIA (présumés KIA)
Perdu 825 hommes comme prisonniers de guerre, 61 internés, 61 évadés, 192 blessés au combat; 63 tués dans des accidents non liés au combat
Nombre total de victimes : 1 774

 

 

Photo Alain Opération Cadillac
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La première commémoration du souvenir de l’opération avait été programmée le à Loubressac dans le Lot, sous le haut patronage de Charles De Gaulle.

 

 

 

Commémoration du souvenir Journal LADEPECH 2013

Commémoration du souvenir Journal LADEPECH 2019

Photo Alain Opération Cadillac
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Stèle de Mansergue commune de Carennac (Lot)

 

 

Comme bon nombre de leurs camarades, Hiller et Watney furent désorientés et abasourdis en touchant le sol français malgré les effusions du comité d’accueil. Surpris par les phares d’une voiture qui roulait vers eux, ils se jetèrent dans un fossé au moment où elle les dépassait et, à leur grande stupéfaction, ils s’aperçurent que le petit groupe de résistants venus les attendre restait au bord de la route, indifférent à la lueur des phares, mitraillette sous le bras. Les deux Anglais comprirent qu’un gouffre séparait les mesures de sécurité serinées à l’école de formation de Beaulieu de celles appliquées en France. On les conduisit aux Quatre Routes dans une bergerie où ils passèrent leurs premières nuits ; puis Watney fut hébergé dans une maison sûre d’où il pouvait transmettre les renseignements et Hiller commença ses pérégrinations chez les résistants du Lot.

 

Photo Alain Opération Cadillac
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HILLER George François

(Maxime dans la Résistance) 

naît le 15 décembre1916

 

Comme agent du SOE, section F :

Nom de guerre (field name) : « Maxime »

Nom de code opérationnel : FOOTMAN (en français VALET DE PIED)

 

Parcours militaire : British Army, SOE, section F ; grade : captain, puis major.

 

Il fait ses études secondaires à Paris, au lycée Janson-de-Sailly.

Juste avant la guerre, il devient diplomate.

 

1943. En mai, il rejoint la section F du SOE, et est envoyé à l'entraînement.

 

1944 Mission en France

 Définition de la mission : comme chef du réseau FOOTMAN, il doit prendre contact avec « colonel Vény » (dont le nom véritable est Jean Vincent) pour évaluer ses groupes et, si l’évaluation est favorable, agir comme officier de liaison avec eux pour organiser des sabotages. Un objectif action précis lui est également assigné : stopper la production des usines Ratier à Figeac[1]

 

Janvier. Le 7, George Hiller « Maxime », chef du réseau et Cyril Watney « Eustache », opérateur radio, sont parachutés à Carennac. Ils sont reçus par Harry Peulevé, leur ancien instructeur à Beaulieu. Ils s’installent près de Martel (Lot) chez Jean Verlhac, chef régional des groupes Vény. La coopération s’établit rapidement. Watney dissimule son poste radiotélégraphique dans un asile sûr, la mairie de Creysse (Lot). Hiller négocie un accord par lequel le SOE armerait et financerait les groupes Vény qui accepteraient d’attaquer tous les objectifs que leur désignerait le commandement interallié par l’intermédiaire d’Hiller. Le sabotage des usines Ratier à Figeac, objectif prioritaire du SOE, est réalisé avec succès dans la nuit du 19. Hiller est promu major.

 

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Cyril Watney

 

naît le 29 septembre 1922, à Calais. Sa famille rentre en Grande-Bretagne au début des années 1930 (Nottingham) et c’est là qu’il fait ses études, couronnées par un diplôme ès sciences obtenu à Cambridge.

 

Il commence la guerre, tout jeune encore, dans le Royal Corps of Signals, et est donc un opérateur radio compétent quand, en 1943, il est promu officier dans le Middlesex Regiment. Connaissant bien la France et parlant parfaitement le français, il ne peut échapper aux recherches du SOE.

 

 Agent secret décoré pour sabotage en temps de guerre

 

Tôt le matin du 8 janvier 1944, le capitaine Cyril Watney, agent des opérations spéciales (SOE), âgé de 21 ans, est parachuté dans le Lot, dans le sud-ouest de la France, avec son commandant, le major George Hiller. Leur arrivée a activé le circuit de résistance "Footman", permettant à Watney, qui est mort de 86 ans, de jouer un rôle clé dans l'un des actes de sabotage industriel les plus réussis de la Seconde Guerre mondiale.

 

Les choses ont pris un mauvais départ lorsque la radio de Watney a été perdue dans la chute et qu'elles ont été arrêtées par des gendarmes en route vers la maison de leurs hôtes, Jean et Marie Verlhac - " mes parents français" comme il les appelait. Il s'agissait de résistants locaux travaillant pour AS-Vény, le groupe socialiste sur lequel Hiller avait été chargé d'enquêter.

 

L'agent de liaison de Watney, et finalement ami de toute ma vie, Georges Bru, l'a déplacé de la maison sûre à la maison. Le favori de Watney était celui de Bannes dont les troupes allemandes se sont écartées, où une vieille dame a élevé des additionneurs pour des sacs à main et il y avait une multitude de rats. Sa personnalité gaie l'a aidé à surmonter le principal ennemi de l'opérateur radio, l'ennui. Il a donné un repas à Londres aux résultats des recherches de Hiller et organisé des lambeaux d'armes, de personnel et, à une occasion, de médicaments, après que Hiller a été pris en embuscade par les Allemands. Le major a été grièvement blessé et leur camarade André Malraux, écrivain et futur ministre du gouvernement français, arrêté. Watney monta un sauvetage audacieux de Hiller, qui était opéré dans un hôpital de campagne dans le presbytère de Magnagues. Hiller retourne ensuite en Grande-Bretagne, laissant Watney au commandement.

 

La collaboration la plus efficace de Footman et Vény consiste à faire exploser l'usine Ratier à Figeac qui fabrique des hélices pour la Luftwaffe. Il n'a pas repris la production pendant la guerre. Des représailles vacilleuses ont suivi, et Watney a dû rester bas pendant un certain temps, en faisant des granges abandonnées, tandis que les affiches parsemaient la campagne, demandant aux gens de garder à l'écart pour surveiller "Michel, nom de guerre de Watney, le terroriste de St Céré".

 

Son travail a vu un niveau record de chutes de parachutes dans la région, culminant avec celui du 14 juillet 1944, lorsque plus de 600 conteneurs d'armes sont tombés près de Loubressac. Il est finalement commandé hors de France à l'automne 1944.

 

Watney est né à Calais, où son père travaillait dans l'industrie de la dentelle. Au début des années 1930, pendant la dépression, sa famille déménage à Nottingham.

 

Un homme chaleureux et modeste, il a soutenu que c'était un sens de l'humour qui a gagné la guerre. Après avoir rejoint le Royal Corps of Signals en tant qu'opérateur radio, il est commissionné au Middlesex Regiment puis recruté dans les entreprises publiques. Il aurait apprécié la description de Hiller d'être dans un train et de remarquer un bossoir de Watney assis sur une plate-forme entourée de valises - la voiture attendue n'était pas arrivée. Watney rejoignit Hiller dans la voiture. "Nous nous sommes juste regardés et avons ri. C'était certainement un triomphe de la sécurité, nous voyageons tous les deux avec une valise sans fil dans le rack au-dessus de nous... et des grenades et des pistolets dans la poche de manteau de Michel. Tout ce qu'il fallait, c'était un avis ... sur la fenêtre: "Réservé pour l'usage d'officiers britanniques".

 

Watney est resté farouchement loyal envers Hiller après la guerre, en disant: "Je n'étais pas à la hauteur de ses normes." Cependant, il a reçu la Croix militaire pour son attaque contre une colonne d'approvisionnement allemande et la Croix de Guerre pour sabotage.

 

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Cahors. Une Américaine sur les traces de son père,

parachuté dans le Lot durant la 2e guerre mondiale

 

Journal ActuLot        Voir l'article

DELMAS (Colonel Georges).

 

(1890-1967). 

 

17 citations

11 blessures (dont 9 durant la 1ere Guerre mondiale)

 

« Brillant officier déjà titulaire de onze citations de la guerre 14-18, s’est distingué à nouveau dans le Maquis au cours d’un combat inégal avec les forces de l’ennemi supérieures en nombre dans la nuit du 30 juin au 1er juillet 1944. »

 

le 30 juin 1944, la tristement célèbre division Das Reich a subi des pertes sévères sur la commune de Gigouzac pendant son repli. Ce jour-là une centaine d'Allemands perdaient la vie tandis que les résistants ont compté une dizaine de combattants. L'homme a la tête de ce réseau de résistance du Quercy était le Colonel Delmas dont le nom de résistance était Commandant Drouot.

 

De plus, il mène une embuscade d’ampleur le infligeant encore de lourdes pertes à l’ennemi. Au cours de ce conflit, blessé une onzième fois, il reçoit deux citations dont une à l’ordre de l’armée ainsi que la médaille de la Résistance par décret du .

 

Nommé lieutenant-colonel en 1945, il est promu colonel de réserve en 1946. À son grand désarroi, en 1947, il se voit refuser de partir en campagne en Indochine. Élevé à la dignité de grand officier de la Légion d'honneur en 1948, le colonel Georges Delmas est rayé des cadres en 1951 et se retire à Cahors (46) où il meurt le

 

Compte-rendu de l’attaque de Gigouzac du 30 juin 1944
1944

par le colonnel Delmas, alias Drouot[

 

Le 30 juin 1944 vers 21 heures, les Allemands ont attaqué la position de Résistance « Blazy » située au sud-est de Gigouzac et à environ 1 500 m de cette localité. Le centre était composé de 67 hommes venant de Cahors dont la majeure partie provenait de la formation primitive c’est-à-dire celle du 8 juin au Montiés.

 

Depuis quelques heures déjà, je m’attendais non pas à une attaque mais je sentais parfaitement qu’il y avait quelque chose de grave qui se préparait. À 13 heures, j’apprends que le village de Montainel situé au nord de ma position est attaqué ; à l’écoute j’entends parfaitement les détonations, la fusillade et la riposte. Un peu plus tard, c’est le tour du Mas de Bris, situé à l’ouest de Gigouzac et à environ 1 km de cette localité où est cantonnée une compagnie de l’A.R. Là, la lutte m’a semblé sévère si j’en juge par le bruit des détonations et la fusillade échangée. Je n’ai pas encore beaucoup de renseignements sur le combat, mais je sais de source sûre que le capitaine commandant la compagnie a été fait prisonnier avec toute sa liaison. Puis enfin, c’est le tour de Blazy.

Depuis déjà quelques heures je suis en alerte ; tout le monde est à son poste de combat. À 21 heures exactement, se présentent les premiers éléments blindés venant de Gigouzac, suivis de plusieurs chenillettes, camions chargés de troupes et enfin pour clôturer deux chars-canons, en tout 39 véhicules d’attaque proprement dite commence par une attaque frontale de blindés montant par le petit chemin reliant Blazy à la route de Gigouzac. Notre lance-roquettes armé des obus à ailettes placé à l’intersection de la route de Gigouzac et du petit chemin reliant Blazy a pu faire feu par deux fois, mais submergé par le nombre, le canon a été pris et le chef de pièce tué.

 

Puis enfin, se dessine une attaque de flanc par la droite à l’est. Je suis assez surpris de voir les Allemands déployés dans les blés sur mon flanc droit. Ce n’est pas douteux. Le sens de la manœuvre se dessine très bien : c’est un débordement par la droite que les Allemands tentent. De notre côté, le feu est ouvert ; le fusil mitrailleur placé face à l’est fait du bon travail ; un instant la poussée se ralentit, mais pas pour longtemps. Profitant de la hauteur des blés, les Allemands se glissent jusqu’au bord des vergers entourant les maisons de Blazy. Le feu se rapproche et de plus en plus, je sens la fermeture qui se précise sur mon flanc droit. Sur ma gauche, je ne suis pas plus heureux. C’est par le bois, à l’ouest, que débouche l’attaque allemande et enfin les blindés au centre.

 

Les chars-cannons ennemis placés à l’est de la position et sur le chemin de Gigouzac donnent et tirent de préférence sur les armes automatiques. La mitrailleuse placée au centre de mon dispositif fait du bon travail mais est particulièrement visée. Ça ne fait rien, le tireur et les servants vident toutes leurs bandes. Sous la pression et le feu des engins blindés qui les abordent de face, la mitrailleuse est annihilée, le tireur est blessé sur sa pièce. La situation me semblait quelque peu compromise ; je voyais très nettement la fermeture de la tenaille et peu s’en fallait que nous soyons tous bloqués dans l’étau. Je donne l’ordre de repli ; l’opération s’opère parfaitement et quoi que le repli est donné, le feu de notre côté ne se ralentit point étant donné que l’ordre avait été ainsi donné : le repli par demi-groupe sous le feu de l’un et de l’autre et ainsi de suite. J’avais donné comme point de ralliement le Sotoul en passant par le Mas de Camp où était cantonné l’A.R.

Le détachement a fait bonne figure au feu. Il s’est bien tenu dans l’ensemble ; il y a eu des actes de bravoure magnifiques, d’autres ont été plus tièdes. De notre côté, nous avons 7 tués et quelques blessés. Je signale entre parenthèse que tous nos morts ont été achevés à coup de baïonnette et j’insiste sur le fait que tous ont été lardés à l’arme blanche. J’ai présidé à l’inhumation de nos morts, j’ai pu constater le fait.

Du côté allemand, je ne connais pas leurs pertes, mais je suis certains qu’elles ont été lourdes. Il n’est pas douteux que la mitrailleuse du centre de mon dispositif qui a tiré à vue dans les camions allemands chargés de troupe a fait du bon travail. Sur l’ensemble du dispositif, les fusils et mitraillettes ne sont pas restés inactifs et individuellement il y a eu des actes admirables ; par exemple le résistant Bibé qui voyant à portée de sa main deux Allemands qui venaient sur lui, jette sa grenade au milieu d’eux et c’en ai fait de ces deux hommes. Il y en a eu à bien d’autres. L’infirmier du détachement a parcouru le terrain de combat, il n’a pas trouvé de blessés ou de morts allemands étant donné qu’ils les ont emportés. Mais il a constaté beaucoup d’enveloppes de paquets de pansement et des enveloppes d’ampoule de sérum antitétanique, ce qui indique que de leur côté il y a eu pas mal de casse.

 

À l’heure actuelle, je cherche à rassembler mon détachement qui est quelque peu épars. J’ai une quarantaine d’hommes sous la main ; quelques uns sont dans les bois, d’autres sont un peu plus loin et ont dépassé le point de ralliement que j’avais fixé. Je ne désespère pas de les rassembler : peu à peu ça vient. À la suite de cette opération, les Allemands ont incendié et détruit tout mon parc auto que j’avais eu tant de mal à former ; une dizaine de voitures et de camions sont brûlés. La ferme et la grange de M. Besse à Blazy sont incendiées ; la maison de M. Bertrand au Mas de Guinet l’est également. En dernière heure, j’apprends que les Allemands auraient eu dans cette affaire au moins 60 tués et un nombre de blessés au moins supérieur. Je tiens à signaler que le poste radio a été pris par les Allemands ainsi que l’indicatif ; il y aura lieu de le changer de toute urgence.

 

Depuis hier matin, je suis installé à la ferme du Ruffet, au sud et sur le petit chemin qui relie le mas du Camp. Par ailleurs, je signale que toutes les notes et archives du détachement ont été brûlées : il ne me reste plus rien. En dernière heure, j’apprends que l’A.R. Qui stationnait dans les environs vient de partir pour se porter en cantonnement dans la région de Cazals qui d’une part est plus éloignée du centre que nous occupons et d’autre part la région en question est une zone boisée et neuve pour ce genre de camouflage. Il n’est pas douteux, en effet, qu’ici nous sommes très nettement l’objet de l’attention des Allemands : c’est ainsi qu’aujourd’hui ceux-ci occupent en force Mercuès et Calamane après avoir fusillé ces jours derniers 22 otages à Boissières.

 

Je ne pense pas pouvoir rester ici bien longtemps et dès que je le pourrai, j’envisage la possibilité de me porter dans la région de Cènevières ; le malheur veut que je ne dispose plus de mes moyens de transport : comme je le disais plus haut tout a été détruit par les Allemands à la suite du combat dont il est question dans ce rapport.

 

Document publié près de quatre décennies plus tard dans Ombres et espérances en Quercy : 1940-1945, les groupes Armée secrète Vény dans leurs secteurs du Lot, éd. Privat Toulouse,‎ 1980

 

 

 

Carte montrant les parcours de la division Das Reich et ses régiments dans le Sud-ouest de la France en mai et juin 1944

 

8 juin-20 juin 1944, la Division Das Reich

D’après Max Hastings, traduit de l’anglais par René Brest,
Pygmalion Gérard Watelet, Paris, 1983.

 

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Pour un Maitron des fusillés et exécutés

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DUFOUR Armand, alias Roméo dans la Résistance

 

Né le 21 juillet 1924 à Aubencheul-au-Bac (Nord), mort en action le 29 juillet 1944 à Gignac (Lot) ; résistant au sein des Francs-tireurs et partisans (FTPF).

Fils de Ferdinand Armand Dufour, 33 ans, journalier, et d’Anna Lasdoulours, 22 ans, sans profession, son épouse, née le 10 juillet 1902 à Dienne (Cantal), Armand Dufour rejoignit la Résistance dans le Lot en février 1944, intégrant les 4e et 5e Bataillons Tactiques des FTP.
Le sergent Armand Dufour alias Romeo s’était porté volontaire avec son groupe pour venir en renfort et aider au décrochage du groupe Julot qui avait attaqué une colonne allemande qui remontait vers le Nord sur la Nationale 20 à hauteur de la Chapelle Auzac (Lot).      Suite site Maitron

 

FIACRE Eugène

 

Né le 27 décembre 1919 à Saint-Ouen-sur-Seine (anciennement Saint-Ouen, ex Seine, Seine-Saint-Denis), mort en action le 29 juillet 1944 à Gignac (Lot) ; résistant au sein des Francs-tireurs et partisans (FTPF).

Eugène Fiacre faisait partie d’un groupe de résistants du 4éme Bataillon des FTP du Lot, Bataillon Ajax. Son groupe, sous la direction d’Armand Dufour alias Roméo attaqua une colonne allemande qui remontait vers le Nord sur la Nationale 20 à hauteur de la Chapelle Auzac (Lot).
Cette colonne était constituée de 32 camions, 250 fantassins et quelques blindés. Ordre avait été donné dès le 25 juillet par le commandant Drouot (AS groupes Vény) de harceler les troupes allemandes.   Suite site Maitron

 

MARSAUD Noël Auguste alias Claude dans la résistance

 

Né le 28 février 1926 à Le-Vignon-en-Querçy (anciennement Les Quatre-Routes, Lot), mort en action le 29 juillet 1944 à Gignac (Lot) ; résistant au sein des FTP.

Ce 29 juillet 1944, les maquis organisèrent de nombreuses attaques contre les troupes allemandes remontant le long de la Nationale 20 vers le Nord du Lot et la Corrèze.    Suite site Maitron

 

GAUFFRE Lucien

 

GAUFRE René, Lucien alias Lucien dans la résistance

Né le 16 novembre 1925 à Cajarc (Lot), mort en action le 29 juillet 1944 à Gignac (Lot) ; résistant au sein des Francs-tireurs et partisans (FTPF).

Fils d’Alfred, Lucien Gaufre, né à Calvignac (Lot), le 7 septembre 1893, cultivateur, et de Marie Aimée Classayre, née à Cajarc le 13 septembre 1898, sans profession, son épouse.
René Gaufre faisait partie d’un groupe de résistants des FTP du Lot, 3e Bataillon Tactique. Son groupe, sous la direction d’Armand Dufour alias Roméo attaqua une colonne allemande qui remontait vers le Nord sur la Nationale 20 à hauteur de la Chapelle-Auzac (Lot). Suite site Maitron

LAVAL Pierre [massacré du Lot]

 

Né le 17 février 1883 à Gignac (Lot), massacré le 29 juillet 1944 à Gignac ; cultivateur ; victime civile.

Fils de Pierre Laval, 24 ans et Magdelaine Delpy, 20 ans, cultivateurs, Pierre Laval devint agriculteur, habitant Gignac (Lot). Il se maria le 2 juillet 1927 avec Louise Léonie Delpech.
Le 29 juillet 1944, une colonne allemande constituée de 32 camions, 250 fantassins et quelques blindés fut attaquée à plusieurs endroits du Lot par des groupes de l’AS Véné et des FTP.    Suite site Maitron

 

Pour plus de renseignements sur la Stèle

L’art de vivre et la quiétude du Quercy sont appréciés de tous, tant de ses habitants que des touristes qui y viennent par milliers tous les étés. Pourtant, la province ne fut pas toujours un endroit aussi accueillant, car elle fut transformée en théâtre de guerre à de nombreuses reprises par le passé. Durant ces périodes troubles, les Quercinois affrontèrent tour à tour les légionnaires romains, les hommes d’armes anglais et les soldats allemands ; lors des guerres de Religion, ils se battirent même furieusement les uns contre les autres. Les quelques épisodes racontés dans cet ouvrage vous plongent au cœur des moments les plus intenses de ces affrontements. Après les avoir lus, vous ne regarderez plus les paisibles collines caussenardes et leurs vallées encaissées de la même façon.

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