N'oublions jamais ! Ceux de la Xaintrie Morts pour la France
397 sur le canton de Saint-Privat (19)
Le devoir de Mémoire
Chaque Poilu à une fiche de renseignements, une petite généalogie,
et la fiche du Ministère de la Défense
Recherches Alain
Fichiers PDF recherches Généalogie en Corrèze
Canton de
Saint Privat (19)
10 Communes
Canton de
Mercoeur (19)
10 communes
Altillac
Bassignac-le-Bas
Camps-St-Mathurin
Goulles
La Chapelle-St-Géraud
Mercoeur
Reygade
Sexcles
St-Julien-le-Pèlerin
«La France est la frontière de la liberté.»
Georges CLEMENCEAU
Les Monuments aux Morts de Xaintrie
Sur les 397 soldats inscrits sur les monuments de la Xaintrie Blanche
mes recherches sur 16 d'entre eux restent sans réponses .
Tout renseignement sur ces personnes me serait utile
Je vous en remercie à l'avance Alain
* Rajouté le 15/03/2015 Louis VEYSSIERE sur la commune de Saint-Géniez-Ô-Merle (19)
(qui n'apparait pas sur le Monument) Merci à Monsieur Georges VEYSSIERE PAGE
.
* Je suis désolée, mais je n'ai trouvé aucun renseignement sur les trois soldats inconnus
Clic gauche sur la liste pour l'agrandir Les soldats inconnus
Commune de Pléaux (15)
Loupiac
Plèaux
St-Christophe-les-Gorges
Tourniac
AURIAC … Juin 2016 un voyage chargé d’émotion,
en hommage à ses Poilus,
ces bonhommes !
BARBET Francis
Adresse e-mail: francisba19@orange.fr
J'essaye de reconstituer le parcours de mon grand père maternel.
Adrien BREUIL
Domicilié en 1914 à Miermont de St Julien aux bois.
Il était né en 1887 et il est décédé à Reyt en 1938.
A la mobilisation générale il a incorporé le 300 éme RI à Tulle (4 Août 1914).
A la dissolution de ce régiment en nov.1917 il a été affectè au 23 éme RIC.
Il a terminé la guerre avec ce régiment dans le Palatinat Rhenan (Allemagne) début 1919 et a été démobilisé le
9 mars 1919.
Je cherche à reconstituer son départ, de Saint-Julien (avec ses compagnons d'arme), par quels moyens, les lieux de
rendez vous (gare d'Argentat ?) et les conditions de son retour, sachant que le 300 éme RI basé à Tulle n'existait plus.
Les personnes faisant des recherches sur des soldats du canton de St Privat peuvent me
contacter Francis
Barbet
La mobilisation française de 1914 est l'ensemble des opérations au tout début de la Première Guerre mondiale qui permet de mettre l'armée et la marine françaises sur le pied de guerre, avec notamment le rappel théorique sous les drapeaux de tous les Français aptes au service militaire. Planifiée de longue date, l'affectation de chaque homme était prévue selon son âge et sa résidence.
La Première Guerre mondiale qui se déroula de 1914 à 1918 est la principale guerre commémorée par les monuments aux morts. Cette guerre a mis en jeu plus de soldats, provoqué plus de décès et causé plus de destructions matérielles que toute guerre antérieure. Plus de 60 millions de soldats y ont pris part. Pendant cette guerre, environ 9 millions de personnes sont décédées et environ 8 millions sont devenues invalides. Les pertes massives amènent, le plus souvent, non à glorifier la victoire, mais à honorer ceux qui ont perdu la vie. Cet aspect est important, car la très grande majorité des monuments élevés à cette occasion le sont à l’initiative, ou au moins avec la participation financière des anciens combattants, qui formaient 90 % des hommes de 20 à 50 ans en France. Leur motivation à continuer de se battre était l’espérance que cette guerre serait la dernière, et que leur sacrifice ne serait pas vain ; les monuments sont aussi là, dans une certaine mesure, pour rappeler ce sacrifice. Il n'est donc pas étonnant de trouver une forte concentration de ces lieux de mémoire dans les régions où se sont déroulés les combats, par exemple en Lorraine.
La période principale de construction est cependant les années 1920, dans les pays occidentaux : 30 000 de 1918 à 1925 en France, soit quinze inaugurations par jour les trois premières années d’après-guerre.
Rappelons là le bilan humain du conflit pour la seule France :
plus d’1,3 million de morts au front (soit 16.5% des forces armées engagées) : 900 000 tués au feu, 250 000 morts de blessures,
175 000 morts de maladies.
Soit entre 25 et 30% des hommes de 18 à 27 ans : soit la partie la plus vigoureuse de la population française, paysans et intellectuels étant tout particulièrement atteints (dont un millier de polytechniciens et normaliens, plus de 30 000 membres des professions libérales et plus de la moitié des instituteurs alors mobilisés).