Médiévale de Miremont 2018 - Site de xaintrie-passions !
Médiéviale de Miremont 2018
L’association de sauvegarde du château de Miremont à Chalvignac dans le Cantal prend soin des ruines du château et un fois par an invite des passionnés de reconstitutions historiques pour se plonger dans l’ambiance du moyen-âge.
La forteresse se dresse à 640 mètres d’altitude au dessus du confluent du Labiou et de la Dordogne. Le premier propriétaire du château de Miremont aurait été Pierre Aimar, ou Adémar dans les années 1050. Aujourd’hui, il n’en reste que des murs en ruine qu’une association de passionnés tente de préserver.
Ces médiévistes attachent le plus grand soin à la fidélité de leurs reconstitutions, le moindre détail doit pouvoir être justifié. C’est ainsi que l’on a pu y croiser combattants en arme, artisans du quotidien
Nous pauvres GUEUX , n'ayant ni écuelle, ni plat, ni même un oignon, éternels vagabonds, partons vers de nouvelles contrées, vous faire découvrir notre savoir faire. Comme l'indique notre nom, nous allons de porte en porte, de région en région, proposer notre spectacle.
Gueux de l'ostière. ,,Mendiant qui allait de porte en porte`
Au travers d'activités théâtrales diverses, la promotion, la défense, la mise en valeur, de la culture et du patrimoine médiéval, dans un souci éducatif et pédagogique.
C’était la Haute-Auvergne d’Yveline David
Depuis 2014,
la troupe des Compagnons d’Orlhac
anime les fêtes médiévales locales
Création et réalisation de spectacles médiévaux ; participation aux diverses activités et manifestation en rapport avec le moyen-âge ; promotion de la culture médiévale avec la réalisation de spectacles, d'animations et d'activités ; déambulations, combats et reconstitutions historiques
Les compagnons d'Orlhac (nom occitan de la ville d'Aurillac) ont ainsi bâti leur univers sur une mythologie bien précise, fortement inspirée par l'histoire de la préfecture cantalienne. « Le contexte historique des XIII e et XIV e siècles nous a grandement intéréssés. C'était une époque assez tourmentée, en particulier pendant le conflit des trois paix où l'abbaye était en guerre avec les bourgeois aurillacois. »
