MARDI GRAS SE FÊTE

      à BASSIGNAC-le-HAUT

 

 

        Animé par l'orchestre de

   Mathieu Martini le 17 Février,                              
    je suis allée déguster le repas ,et vous rapporter ces photos

d'ambiance musicale bien rythmée, les danseurs ont occupé la piste
emmenés par la jolie voix de Mathieu et Ginette...

    Après un délicieux repas, madison, java, valse, bourrée et rock, tout ce mélange de danses a été très apprécié des connaisseurs qui s'en sont donné à coeur joie,et l'heure tardive n'a pas eu raison de leur envie de valser et de faire tourner leur cavalière encore et encore....

    Dans la cuisine Pierre Delmas était bien occupé au service du repas et des Beignets de Carnaval,délicieusement préparés par Lucienne Dichamp du Coudert c'est bien pour cela qu'ils sont aussi appelés <merveilles>

 

A Bientôt Bassignac et merci au comité des fêtes pour cette belle soirée et a ces bénévoles qui donnent de leur temps sans compter pour que la fête soit belle

 

 

Mathieu Martini et Ginette Coudert

  

  Dans la cuisine Pierre Delmas était bien occupé au service du repas et des Beignets de Carnaval

Mardi gras est une période festive qui marque la fin de la « semaine des sept jours gras » (autrefois appelés jours charnels)¹.

Cette période, pendant laquelle on festoie, est suivie du mercredi des Cendres marquant le début du Carême. Elle se situe donc juste avant la période de jeûne, c'est-à-dire -selon l'expression ancienne- avant le «carême-entrant» ou le «carême-prenant». Les «Sept jours gras» se terminent en apothéose par le «mardi gras» et sont l'occasion d'un défoulement collectif. L'esprit de jeûne et d'abstinence qui s'annonce est momentanément mis entre parenthèses

Mardi gras près du feu, Pâques auprès de la porte ;

Mardi Gras près de la porte, Pâques auprès du feu

 

Le carnaval vient du latin médiéval carne levare : enlever la viande (des repas). La viande désignant le gras que l'on mange les jours gras (Autrefois, on les appelait aussi les jours charnels). Le carnaval a le même sens que le carême-entrant ou carême-prenant qui désignaient, à l'origine, le début du carême.