Articles de presse éleveurs de la Xaintrie

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Journal La Montagne le 27/02/2014

Article Dominique DIOGON, Photo Franc BOILEAU

Toujours très prisé des visiteurs du Salon de l’Agriculture, le concours de la race salers a mis à l’honneur, hier, la jeunesse. Un jeune taureau présenté par un éleveur corrézien de 24 ans a décroché le prix de championnat mâle.

La popularité de la race salers ne se dément pas au Salon de l'agriculture. Les gradins et le tour du ring bovin du hall 3 étaient bondés pour assister, hier après-midi, au concours général agricole de la belle à la robe acajou.

Dans ce show à l'américaine, à grand renfort de décibels et de projecteurs, les plus intimidés n'étaient peut-être pas les animaux mais le juge chargé de délivrer le palmarès de cette édition 2014.

« Le plus beau jour de ma vie d'éleveur »
Didier Filiol,
éleveur à Ally, lauréat avec Douchka

Stéphane Fau, éleveur à Boisset, dans la Châtaigneraie cantalienne, a trouvé, après coup, l'exercice « dur ». « Il était difficile de départager les animaux tant les sections étaient homogènes et de qualité. »

Pour sa première parisienne, Monsieur le juge a créé une petite sensation en décernant le prix de championnat mâle à un jeune taureau, Godwyn, appartenant au Gaec Fourtet de Saint-Julien-aux-Bois en Corrèze, et à Claude Collange, un éleveur picard.

Victor Fourtet, âgé de 24 ans, qui s'est installé l'an passé et participait à son premier concours à Paris en tant qu'éleveur, a vécu un grand jour. Partagé avec son père Yves. « C'est plus que de l'émotion. Pour le prix de championnat, je ne m'y attendais pas du tout. Cela doit être l'un des premiers titres suprêmes pour un taureau jeune au salon. Je n'arrive pas à réaliser ce qui nous arrive. Mais Godwin est un super taureau. En plus d'être beau, il a un caractère exceptionnel. Il est gentil comme tout. »

L'autre grande triomphatrice du jour, Douchka, vainqueur de la section vaches âgées, a décroché le prix de championnat femelle. Son propriétaire, Didier Filiol, installé à Ally, était aux anges. « J'avais déjà eu un prix de section en 2011 et en 2012. Mais c'est mon premier prix de championnat. Aujourd'hui, c'est le plus beau jour de ma vie d'éleveur. »

Comme aux Jeux Olympiques…

Et l'éleveur de poursuivre : « Paris, cela reste un concours à part. Venir ici demande beaucoup de préparation à un moment où nous avons énormément de travail sur l'exploitation avec les vêlages. Ce concours, c'est comme les Jeux Olympiques, il faut être prêt le jour J. Je suis déjà venu dix fois, mais c'est toujours le même stress. En plus, Douchka a fait des jumeaux quinze jours avant le départ. Alors, il y avait un peu d'inquiétude. Ce soir, je risque de me coucher tard », rigolait-il.

Dominique Diogon

La Vie Corrézienne le 21/09/2013

Journal La Montagne 17/08/2013 article de Sophie LESCURE photo Lionel PAVOZ

Escapade au cœur d’un élevage de pigeon de chair, niché en Xaintrie. Les colombiers de Didier Breuil, bien plus qu’un élevage, révèlent la passion de toute une vie.

Roucouler pour mieux sauter (à la poêle)

C'est l'histoire d'un garçon qui reçoit, pour ses 12 ans, deux couples de pigeons en cadeau. Sur ces quatre individus, l'adolescent d'hier, Didier Breuil, compte finalement trois mâles et une femelle. L'élevage part sur un pied quelque peu bancal mais qu'importe, la passion est née…

« Dès le début, j'ai été fasciné par ces animaux qui forment un couple à vie et élèvent ensemble leurs petits. Ils ressemblent beaucoup aux humains en fait. » Oui, enfin tous les humains ne sont pas à la mode pigeon… mais laissons l'éleveur dans ses rêveries.

Entre 80 et 100 pigeonneaux par semaine

Question élevage, celui-ci est plus que pragmatique. À 16 ans et demi, il fait ses comptes et sait qu'il pourrait vivre de sa passion en élevant 600 couples. Avant ses 18 ans, il réserve puis achète un terrain à Saint-Privat pour ses futures installations.

En 2013, où en est ce passionné ? « Vingt-deux ans après, je m'y tiens toujours » dit-il gaiement. Et promesse tenue, il compte bien dans ses installations, 600 couples de pigeons. 50 % de son élevage est destiné à la vente aux particuliers et aux restaurateurs tandis que les 50 % restants sont consacrés à la reproduction, qu'il vend en France comme à l'étranger.

Sur les 400 à 450 races de pigeon existantes, l'éleveur xaintricois a opté pour le Hubbel, race californienne crée en 1910. De nature assez calme, ce pigeon est réputé rentable pour la consommation.

« L'élevage de pigeon a un coût important. Pour exemple, on ne trouve un demi-pigeonneau qu'à partir des menus à 35 euros. Nous ne pouvons pas industrialiser ce type d'élevage. Les femelles nourrissent les jeunes avec du lait de jabot qui les immunise à vie. Ce lait est impossible à reproduire synthétiquement… » Intarissable sur le sujet, l'éleveur raconte toutes les étapes de son travail. Des premiers jours du pigeonneau couvé à la fois par ses parents mais également par lui jusqu'aux filets dodus prêts à être cuisinés.

Pour une viande de qualité et moelleuse, il apporte un soin particulier à l'alimentation en leur donnant maïs, blé, pois secs et mélange de triticale, vesse et pois. Un couple de pigeon a besoin de 50 kg de nourriture par an et élève, en moyenne, une douzaine de petits, à raison de 6 ou 7 couvées par année.

De l'élevage à l'assiette, Didier Breuil pense à tout et n'hésite pas à passer en cuisine. Il propose ainsi pigeon farci, cuisses et ailes de pigeon confit, salmis de pigeon et autres terrines de pigeon au poivre, raisins, girolles…

è Pratique. Les Colombiers de Xaintrie, Didier Breuil, Leyge, 12220 SAINT PRIVAT, 05.55.28.40.62

Sophie Lescure

Article Herbe et Fourrages Limousin        Clic gauche sur l'article pour l'agrandir

 

Michel VEYSSIERE, ferme pilote à Saint Julien aux Bois (19) a divisé par deux l’aliment des broutards.

Journal La Montagne 23/06/2013

Des milliers d'éleveurs venus de toute la France ont marché sur Paris ce dimanche avec une partie de leur cheptel, à la rencontre des Parisiens et des consommateurs.
Par besoin de reconnaissance et pour réclamer de "pouvoir vivre de leur métier", des milliers d'éleveurs ont marché sur Paris dimanche avec une partie de leur cheptel, à la rencontre des Parisiens et des consommateurs.
Dans le viseur des marcheurs réunis à l'appel de la Fédération des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA, majoritaire) et des Jeunes agriculteurs (JA), les charges qui augmentent, les contraintes qui s'empilent, les règlements qui parfois se contredisent et aussi, surtout, les prix bloqués et les revenus qui fondent. Un panneau accroché sur l'un des tracteurs qui ouvrent le cortège (plus de 11.000 manifestants selon la FNSEA, 6.200 selon la police) annonce la couleur: "Prix du lait: la grande distribution nous trait".
Au-dessus des têtes, les pancartes rappellent quelques vérités exprimant la lassitude voire le découragement : "Avant j'avais un revenu. Mais c'était avant". "Un élevage qui ferme c'est 7 emplois en moins" ou "Sans agriculture, pas de nourriture". Sans compter la météo désastreuse du printemps et les intempéries de la semaine dernière, qui ont noyé les pâtures, gâché les foins et entravé les cultures. Certains éleveurs ont malgré tout quitté leur ferme au coeur de la nuit pour amener leurs bêtes sur le bitume et dans le bruit.
Derrière les tracteurs, les vaches avancent avec leur veau parfois, des Montbéliardes, des Tarentaises , des Charolaises blanches et des Blondes d'Aquitaine, des Salers bouclées et des Aubrac roux clair, des Normandes pie et des chevaux aussi, des Comtois alezans à la crinière blonde
Dans la foule, Laurent Spanghero, candidat à la reprise de l'entreprise de viandes qu'il avait cofondée avec son frère et lui-même éleveur de Limousines, serre des mains. "Les éleveurs sont maltraités depuis des années, ils n'ont plus de revenus décents en dépit des heures travaillées".

Travailler à perte
Les responsables des différentes fédérations - porcine, bovine, laitière... - ont chauffé la foule au départ. A l'arrivée ce sont les présidents des syndicats, qui rappellent que le 12 avril déjà, les éleveurs ont déposé leurs cahiers de doléances en préfectures.
"Ce n'est pas un mouvement d'humeur", prévient François Thabuis pour les JA: "Dans quel métier accepte-t-on un système qui fait travailler à perte?". "Le rapport de force avec la grande distribution nous est systématiquement défavorable. Or, chaque fois qu'on perd, ce sont des exploitations qui disparaissent", assène-t-il en réclamant "des négociations équitables" garanties par la révision de la loi de consommation (ou LME) qui arrive au Parlement. "Et qu'on arrête de nous dire que le consommateur sera pénalisé si nous arrivons à vivre de notre métier".
Puis le président de la FNSEA Xavier Beulin prend le relais pour réclamer la généralisation d'un étiquetage "Viande de France" dans les rayons pour contrer les importations déloyales.
Comparé à l'Espagne ou l'Allemagne, "le différentiel de prix, de 4 à 6 euros par heure travaillée, est insupportable à l'heure européenne".
"La course aux prix toujours plus bas gruge le consommateur", juge-t-il.
Il interpelle les autorités sur "la surenchère réglementaire", la fiscalité, la protection accordée aux prédateurs (loups, sangliers, campagnols). Et aussi le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll sur les risques d'une ouverture du marché européen aux importations américaines (poulet chloré, boeuf aux hormones) et maïs OGM.
"Nous voulons être entendus des pouvoirs publics" mais aussi "de nos partenaires dans les filières" résume-t-il. "Que le respect l'emporte sur le mépris".
A sa demande, confie-t-il, le président François Hollande a accepté de le recevoir début juillet.
Fourbus, les veaux se sont affalés sur le gazon parisien ("interdit aux jeux de ballons") qui, après l'asphalte, repose les sabots des mères et des chevaux.

Journal l'Union Paysanne 14/06/2013                    Site internet du journal

Journal La Montagne 21/05/2013

L'assemblée générale du Syndicat des éleveurs de la race salers de la Corrèze s'est tenue le mardi 14 mai, à Saint-Julien-aux-Bois, sous la présidence de Yves Fourtet. Etaient présents Daniel Couderc, président de la FDSEA et vice-président de la Chambre d'agriculture de la Corrèze ; Sébastien Soulié, président de l'Etablissement de l'Elevage de la Corrèze, Maurice Demichel, président du groupement corrézien de défense sanitaire, et Stéphane Fau, représentant le groupe Salers Evolution.

Le syndicat compte 35 adhérents ayant pour objectif de promouvoir la race Salers. Les éleveurs participent aux différents concours et manifestations (comices cantonaux et d'arrondissement, présentations au Festival de l'Elevage de Brive) et concours nationaux (National Salers, Sommet de l'Elevage et Salon de l'Agriculture). Cette promotion de la race passe par l'amélioration génétique. Pour cela, le Conseil général attribue au Syndicat salers une aide financière (5.000 en 2012) permettant de subventionner les adhérents qui mettent certaines actions en pratique dans leurs élevages comme l'insémination en race pure, l'adhésion à Bovins croissance et au Herd-Book Salers ou l'installation des jeunes en race Salers.

En fin de matinée, le groupe Salers Evolution a présenté aux éleveurs le projet de pointage post-sevrage puis le Docteur Christelle Roy, directrice du GCDS, a exposé l'état des connaissances sur les maladies vectorielles émergentes, particulièrement le virus de Schmallenberg et la Besnoitiose bovine. Le syndicat a clôturé cette journée par la visite des exploitations de Michel Gane, à Reyt, et Jean-Pierre Gane, à Vidal, éleveurs à Saint-Julien, deux exploitations qui maîtrisent parfaitement leur troupeau Salers, grâce à un travail long et méthodique sur la génétique et la conduite de la reproduction.

Palmarès du Département du Cantal le 23/03/2013 à Saint-Flour (15)

Jean-Louis LAFON

Le 20 Janvier 2013 Jean-Louis LAFON

L'Association Prim'Holstein vient de publier les animaux en lisse pour le confrontation européenne. Nous félicitons les éleveurs ayant un animal retenue. 11 filles de taureaux Bovec sont engagées dont 3 filles de SANCHEZ, 2 filles de SHOTTLE, 1 fille de JAYZ, 1 fille de DESTRY, 1 fille de ASTRE, 1 fille de HAVEZDA, 1 fille de BAXTER et 1 fille de DAMION. Nous souhaitons beaucoup de succès à l'ensemble de ces éleveurs.

  NOM Père GPM Propriétaires Dpts
1ère lact.  JUNIOR NOIRE Bot-Finia Sanchez Damion Gaec Florenties - Celereau/Guillotin/Chabanon/Lagelouze 64
Duf Fifty Goldwyn Terrason Gaec Duff'Holstein 65
Wilt Oceane Jayz Talent Lad Gaec Wilt 67
Novy Futee Sanchez Lheros Scea Du Champ De La Tour 70
Bel Fionna Duplex Terrason Earl Colibri 58
Sue Helene Hvezda Nactif Earl De La Passion 45
2ème lact. 
INTERMEDIAIRE
NOIRE
Delicia Baxter Shottle Gaec Wilt, Earl Wollenburger, Genelot Jean-Bernard 67
Daphne Jasper Wil Nactif Earl De Louverne 53
Emeraude Damion Merchant Gaec Duff'Holstein 65
Egerie Gavor Iron Gaec Er Lenn 56
Floedelweiss Shottle Duplex Gaec Florenties - Jean Louis Lafon - Franck Heras Gomez 64
Pom Energy Xacobeo Icarios Earl De La Grande Pommeraie 35
All Fellie Goldwyn Integrity Gaec Leclerc 50
Encino Sanchez Drake Gaec Cabon 29
3ème lact. et plus
SENIOR NOIRE
Favi Baronne Fbi Goodluck Earl Lepoint 59
Carmen-Ots Goldwyn Aaron Scl Ferme D'Autes 76
Twin Miza Spirit Rubens Gaec Leclerc 50
Gut-Chloe Duplex Champion Gaec Gutzwiller 68
Vickie Talent Lad Charles Gaec Botrel 22
Airway Shottle Morty Gaec Des Grilles 61
Beaute Gibson Ford Gaec Bougouin Freres 72
Ghpbrainville Duplex Rubens Scl Novalait 52
Bonheur Instinct Lheros Earl Du Grand Gue 22
Bounty Goldwyn Gibson Scea Creze 22
Cinthia September Derry Earl Follezou 22
Ti Clary Goldwyn Rubens Gaec Duff'Holstein 65
Noticwade Stormatic Wade Earl Notteboom 60
Ultime Salinoise Astre Spirit Lafon Jean-Louis - Rouel Monique 15
Venus Tgv Gibson Rubens Gaec Derriere La Tour 55
Bretta Goldwyn Lee Gaec Le Houerou 22
JUNIOR ROUGE Twin Red Talent Lad Rubens Gaec Leclerc 50
Fiere Accolade R Alpage Fm Lafon Jean-Louis 15
Coc Farhed Destry September Dallery David 80
SENIOR ROUGE Cyred September Champion Girard Jean-Bernard 25

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Le 27 Mai 2012

 

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