Sur les rives et contreforts de la "rivière Espérance"
Le Barrage de l’Aigle – entre Corrèze et Cantal
Situé sur la Dordogne, entre Corrèze et Cantal, le barrage de l’Aigle doit son nom à un rocher qui le surplombe, appelé rocher de l’Aigle. Il pourrait être dû à la population de rapaces qui vivent dans la région ou à son nom occitan : « lour roc qui biu l’aigue » signifiant le rocher qui boit l’eau.
Rapport succinct sur l'activité du Groupement de Résistance du
Barrage de l'Aigle
Chef du Groupement : Monsieur DECELLE .
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ALLOCUTION D'André DECELLE
Ex commandant du Bataillon FFI
du Barrage de l'Aigle
Le 6 Juin 1984 à la centrale EDF de l'Aigle
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Embuscades et guérilla
en R 6 Auvergne
Voici un petit résumé explicatif précisant les conditions dans lesquelles se sont effectués les préparatifs de la Libération à partir des mois de mai et juin 1944 en Auvergne, plus particulièrement en ce qui nous concerne dans le Cantal, et plus précisément encore, à partir du barrage de l’Aigle.
In fine, nous allons vous relater comment ont pu se dérouler les embuscades dans lesquelles les maquisards essayèrent d’intercepter les troupes allemandes en reflux de la région Sud-Ouest qui tentaient de fuir en août 1944 pour rejoindre leurs lignes amies dans l’Est de la France.
Nouveau le 12/05/2024 Voir La Page
Pierre JACQUIN ingénieur EDF en hydroélectricité,
Chevalier de la Légion d'honneur, Médaille militaire,
Croix de guerre 1939-1945,
Médaille de la Résistance,
Catherine Bacos fille de
Pierre JACQUIN Bataillon Didier
Le 28 mars 1944 Pierre Jacquin alias "Brun" est arrêté par la gestapo à Clermont Ferrand devant la polyclinique, en même temps que "JOB" contact radio avec Londres . Tous deux appartiennent à l'ORA du Cantal. Pierre Jacquin, agent de liaison basé au Barrage de l'Aigle, est sous l'autorité d'André Decelle et Roger Walther. Il a été torturé pendant un mois au 92 de Clermont par les tortionnaires Georges Mathieu et Jean Vergnière entre autres. Il n'a jamais parlé du barrage de l'Aigle malgré les souffrances de la torture répétée. Le 1er mai 1944 il est envoyé en déportation : Compiègne , Buchenwald, Dora , Bergen Belsen. Il en est revenu marqué à vie.
Mémoire à son courage.
Le livre
Les rescapés de la barbarie commencent souvent par se taire. Les enfants de survivants ont de nombreuses énigmes à résoudre avant de connaître l'histoire de leurs parents. Une petite fille grandit auprès d'un papa "héros des montagnes". Elle va découvrir aux détours de paysages alpins somptueux, les blessures vives de ce rescapé des camps de déportation. Adolescente, elle voyage en Allemagne pays aimé et tant haï. Plus tard, elle rassemble les témoignages paternels pour lutter contre l'oubli
GROUPEMENTS DE RÉSISTANCE
DU BARRAGE DE L'AIGLE
Bataillon Didier Voir les 2 Pages
Compagnie Bruno Voir les 2
Pages
Compagnie Bernard Voir la Page
Compagnies Espagnoles Voir les 5 Pages
Compagnie Polonaise Voir la Page
Compagnies FTPF Voir les 2 Pages
Compagnie Eynard Voir les 3 Pages
Compagnies Nord-Africaines Voir la Page
DES MAQUIS D'AUVERGNE AUX
COLLINES DU HARZ
Souvenirs de
Raymond SOULAS par Raymond SOULAS
Juin 1944 - Mai 1945
Fait prisonnier lors d’un engagement dans le maquis du Lioran, déporté le 30 août 1944 de Clermont-Ferrand vers le Struthof, évadé puis repris, il arrive finalement à Buchenwald
le 10 septembre 1944
M. Raymond SOULAS X 39, résistant-déporté,
officier de la Légion d'honneur, croix de guerre 1939-1945,
https://fondationmemoiredeportation.
com/laudiotheque/buchenwald/soulas-raymond/
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Groupement « Allard » « Ambor » Embuscades et guérilla
Commandant ou le Commandant en R 6 Auvergne
André Merlat Pierre Roussilhe
Opération Cadillac 14 juillet 1944 / Commémoration 14 juillet 2024
"SERRURIER" (Cantal)
"SALESMAN" (Haute-Vienne) / "DIGGER" (Corrèze)
"FOOT-MAN" (Lot) / "TRAMMOND" (Limite Cantal/Corrèze)
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Bureau Postal Aynes
SANTIAGO PAVON, José Jean CHASTANG
Caneiro-Pernas Compagnie
Maire de Mauriac
Constantino FFI du commandant Didier Héros de la Résistance
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Souvenirs de José
ZUCCA Georgette AUBIGNAC
Commandant
Compagnie BERTRAND Jacques, Sully
AUBIGNAC Nicolas ROUGIER
(Débarquement Cavalaire)
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Compagnie Eynard Bataillon Didier Compagnies Nord-Africaines
Mémorial St-Geniez-Ô-Merle Militaires de Carrière
avant 1939
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Compagnie
Bernard Compagnies F.T.P.F Liste de 669 personnes
Barrage de l'Aigle Mortes 39-45 Dépt Cantal
Les ailes de la mémoire
Dévoilées le Samedi 8 Septembre 2012 dans le grand hall du Barrage de l'Aigle
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Journal Notre Barrage Buron de la Résistance Le timbre 1er jour
1940-1945 Chalvignac (15) Maquis Barrage de l'Aigle
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Lieux de recueillement Camp prisonniers Allemands Opération Cadillac
Pour les familles
A Aynes numéro
N°134 Groupe de parachutages
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Compagnie Polonaise Bataillon Didier Compagnies Espagnoles
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Encerclement du Poste Des Polytechniciens
René Rivière
de Rueyres sur la Truyère Dans La Résistance Cantal Au lac de Constance
Le barrage de l’Aigle est, après Marèges, la seconde étape de l’aménagement hydroélectrique de la Dordogne en amont
d’Argentat. Entrepris en 1939, le chantier est dirigé par André COYNE et Marcel MARY , dans le cadre du Service Technique des Grands Barrages (S.T.G.B.) replié de Paris à Mauriac (Cantal)
après 1940. La construction se poursuit après l’armistice, avec pour chef d’aménagement André DECELLE , ingénieur des Ponts et Chaussées et prisonnier évadé.
Dès 1940, à l’initiative du Commandant Pierre ROUSSILHE , des véhicules et du carburant de l’Armée sont transférés au chantier du barrage et échappent aux réquisitions de l’occupant. Ainsi,
malgré les nombreuses difficultés d’approvisionnement, l’équipe de direction était décidée à poursuivre la construction, convaincue que les mauvais jours ne dureraient qu’un temps et que la
France libérée aurait besoin de ressources énergétiques nouvelles.
Le chantier, dès ses débuts, accueillit, parmi les travailleurs, des prisonniers évadés, des patriotes mortifiés par la défaite de 1940 et des militants antifascistes venus d’Espagne, d’Italie ou
d’ailleurs.
En 1942 se fait jour le projet de faire participer l’équipe du barrage à un réseau clandestin ; cela débouche, après l’invasion allemande en zone sud, sur la nomination d’André DECELLE
comme délégué départemental de l’O.R.A. pour le Cantal, sous le pseudonyme de DIDIER. Le réseau s’enrichit notamment de la venue, en 1943, d’élèves des Ponts et Chaussées réfractaires au Service
du Travail Obligatoire (S.T.O.).
Grâce à plusieurs parachutages et à l’établissement d’une liaison radio avec Londres, le réseau remplit au bout du compte la mission qui lui a été fixée : préparer les conditions de vastes
rassemblements de volontaires prêts à entrer dans la lutte active lorsque le signal leur serait donné
Les hommes avaient perdu le goût
De vivre, et se foutaient de tout
Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas
Pour eux c'était qu'du cinéma
Le ciel redevenait sauvage
Le béton bouffait l'paysage, d'alors
Les loups sont entrés dans Paris
Attirés par l'odeur du sang
Il en vint des mille et des cents
Faire carouss', liesse et bombance
Dans ce foutu pays de France
Jusqu'à c'que les hommes aient retrouvé
L'amour et la fraternité
Les loups sont sortis de Paris
J'aime ton rire, charmante Elvire
Les loups sont sortis de Paris
André Decelle
(Commandant Didier dans la Résistance)
André Decelle est né le 29 juillet 1910 en Lorraine, à Pont-à-Mousson.
Ancien Élève de l'École Polytechnique puis de l'École Nationale des Ponts et Chaussées, il a tout d'abord été Ingénieur au Service Technique des Grands Barrages. De
1940 à 1945, il fut chargé de l'étude de l'équipement hydraulique de la Dordogne. Simultanément à ses activités officielles, ce résistant de la première heure, prisonnier évadé en août 1940,
constituait et dirigeait, dans la clandestinité, le Bataillon Didier qui, composé des cadres et des ouvriers du chantier du Barrage de l'Aigle, participa activement à la libération du Massif
Central et poursuivit les combats jusqu'en Côte d'Or.
Après avoir exercé, de 1945 à 1950, les fonctions d'ingénieur d'arrondissement puis d'ingénieur en chef des Ponts et Chaussées du Département de la Seine, ainsi que
de Conseiller Technique du Ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme, il entra à Électricité de France qui venait d'être créée quatre ans auparavant. Successivement Directeur de la Région
d'Équipement Hydraulique Alpes III basée à Marseille, puis Directeur de la Distribution Mixte E.D.F.-G.D.F., puis Directeur Général Adjoint d'E.D.F. Il accéda au poste de Directeur Général
d'E.D.F. en 1962. Cinq années plus tard, en désaccord avec certaines options gouvernementales dans le domaine de l'énergie nucléaire, il demandait à être relevé de ses fonctions. Nommé alors
Conseiller d'état, il devenait en 1968, Président du Conseil d'Administration de l'Aéroport de Paris, puis, en 1970, Président de cet Établissement. L'année 1975 le voyait atteint par la limite
d'âge.
Il n'en poursuivit pas moins ses activités professionnelles, en devenant alors Président de Garonor, très importante organisation de stockage, de manutention et de
distribution des marchandises transportées par route, implantée au nord de Paris.
Son expérience considérable et multiple, ainsi que ses profondes qualités humaines, lui ont valu, tout au long de sa prestigieuse carrière, d'être appelé à assumer
parallèlement, en France et dans le monde, des responsabilités fort variées, telles que sa participation au Conseil de Perfectionnement de l'École Centrale des Arts et Manufactures, à la
Commission de Transfert de l'École Polytechnique, à un jury de sortie de l'École Nationale d'Adminis¬tration, et sa présidence de l'Union Internationale des Producteurs et Distribution d'Énergie
Électrique, de la Société pour le Développement de l'Électricité en Afrique et à Madagascar, et du Comité de Parrainage de l'École Supérieure Interafricaine d'Électricité à Abidjan.
Organisateur méthodique et déterminé, sachant écouter puis décider, doué d'une force de caractère peu commune, remarquable esprit de synthèse aussi bien que
d'analyse, concis et précis dans ses actes comme dans ses paroles, détestant la médiocrité et les honneurs, aussi bienveillant et indulgent pour ses collaborateurs qu'il est exigeant de sa propre
personne, ayant un sens aigu de l'honneur, toujours disponible pour ses amis, cet homme exceptionnel fait l'unanimité à son sujet.
Combien d'ingénieurs peuvent se glorifier d'avoir donné à la France des réalisations telles que le barrage de l'Aigle sur la Dordogne, le barrage de Serre-Ponçon sur
la Durance, l'aérogare d'Orly-Ouest, l'aéroport de Roissy I, les études complètes de Roissy II ?
André Decelle est titulaire de la Médaille de la Résistance, Commandeur de la Légion d'Honneur, Grand Officier de l'Ordre National du
Mérite.
L’effectif était ainsi réparti :
- État-major : 36 hommes affectés au PC dont, commandant André Decelle (Didier) ayant remplacé le chef d’escadron Roussilhe (Ambord), Lieutenant Roger Walther (Valentin), officier transmissions, Lieutenant Roger Freyd (Fred), officier d’état-major, volontaire Léon Beynel (Léon) et (Mercier) (volontaire X), secrétaires.
- Compagnie Bruno : 122 hommes aux ordres du Capitaine Poirier (Bruno).
- Compagnie Bernard : 135 hommes aux ordres du Capitaine
Bouchot (Bernard).
- Une réserve au barrage de l’Aigle et à Mauriac : 44 hommes sous les ordres du Lieutenant Raynal et du Sergent-Chef Ganne (Gardiens du barrage).
- Compagnie des services (auto, transmissions, ravitaillement, santé) : 65 hommes aux ordres du Lieutenant Audy.
Éléments étrangers :
- Deux compagnies espagnoles de 75 hommes aux ordres des Capitaines Montoliu Del Campo et Manuel Barbosa.
- Une compagnie polonaise de 100 hommes sous les ordres du
Capitaine Teuer.
- Une compagnie nord-africaine de 100 hommes qui rejoindront plus tard individuellement ou en groupes les maquis Gao et Dakar de la Corrèze, le maquis Chouan de la Haute Vienne et le bataillon nord-africain ORA du Puy de Dôme.
- Une compagnie indochinoise (non constituée à terme).
Texte Chef du Groupement : André DECELLE .
"L'ombre s'est faite humaine,
aujourd'hui c'est l'été
Je twisterais les mots s'il fallait les twister
Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez"
Jean Ferrat
. Quand le conflit éclate, l’occupant donne son feu vert pour que les travaux se poursuivent. Sans se douter une seconde que le chantier cache un foyer de la résistance locale.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le barrage de l’Aigle abritait clandestinement l’ORA (Organisation de résistance armée) du Cantal : du coup, il n’a jamais produit un seul volt pour les Allemands.
A l’initiative de l’ORA du Cantal, des prisonniers évadés, des militants antifascistes espagnols ou italiens, des maquisards, se cachent sur le site parmi les 1 500 travailleurs. Malgré les rafles régulières, les résistants parviennent à mener à bien leur principale mission : ralentir au maximum la progression des travaux afin de ne pas fournir d’électricité aux Allemands… tout en avançant suffisamment pour que le barrage soit opérationnel quand la France sera libérée.
« Il est, pour toute existence, des lieux privilégiés dans le souvenir.
Singulier destin que celui de ce chantier qui a dû, longtemps,
se taire et travailler, se doutant confusément qu'il était promu à
un grand dessein. Puis, brusquement passer du rêve à l'action. »
André Decelle.
Les Allemands étaient chez moi On m'a dit "Résigne-toi"
Mais je n'ai pas pu
Et j'ai repris mon arme
Jacques Prévert.
http://lesresistances.france3.fr/documentaire-mcm
Pour compléter la connaissance de l'histoire du Maquis, et surtout de ceux qui l'ont écrite, nous recherchons tout document, photo, dessin, ... relatif au groupement du Barrage de l'Aigle.
Nul doute que les archives familiales des anciens maquisards comportent des traces (même minimes en apparence) qui voient rarement le jour, et qui apporteraient une pièce de plus à ce grand puzzle de la reconstitution historique, et du partage de la mémoire.
Une copie numérique de bonne qualité suffit et peut être transmise par courriel.
Descendants des ouvriers du barrage et des maquisards, ayant fait partie du bataillon "Didier" de l'ORA comptant près de mille hommes dans ses rangs, dont des Républicains Espagnols, Polonais et des Nord-Africains
(Environ une trentaine de nationalités) .
En constante évolution à la recherche de témoignages, photos ou documents de toute nature relatifs à cette période de la guerre.
Si vous même êtes un descendant de ces combattants pour la liberté.
Soyez assurés que nous répondrons à vos demandes dans
les plus brefs délais!
Bien cordialement à vous et mille merci pour vos encouragements.
C’est en 1935, juste avant la guerre, que la construction de ce grand barrage hydroélectrique, qui doit retenir les eaux de la Dordogne, est lancée
Censé se terminer en 1942, le chantier ne sera achevé qu’en 1945 et le barrage inauguré le 15 octobre, bien après la capitulation allemande. L’ouvrage est titanesque : 92 mètres de haut et 289 de long. Mission accomplie !
Encadrement
Les ouvrages ont été réalisés sous la haute direction de Monsieur COYNE, inspecteur Général des Ponts et Chaussés avec le concours de Monsieur MARY, ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, qui a assumé à partir de 1942 le rôle de Directeur des Services Techniques de la Société ENERGIE ELECTRIQUE DE LA MOYENNE DORDOGNE, et de Monsieur DECELLE, Ingénieur des Ponts et Chaussées.
Monsieur AUDY, Ingénieur des Ponts et Chaussées, a succédé à Monsieur DECELLE en 1945.
Monsieur POUEY-MOUNOU était ingénieur en Chef des Services Électriques et Électromécaniques.
Les études ont été faites par le Service Technique des Grands Barrages fonctionnant comme Direction Technique de la Société E.E.M.D. sous la direction de Monsieur BELLIER. L'Usine a été confiée au Bureau d'études SECHAUD & METZ. Toutes les dispositions de détail ont été mises au point par le Bureau d'études des Entreprises BALLOT, sous la direction de Monsieur GUERRIER, puis de Monsieur SUMEREAU.
La Direction du chantier a été assurée par Monsieur PFAFF, aidé de MM, CAPITAINE, FONTAN et BONNET. Monsieur CAPITAINE a succédé à Monsieur PFAFF en 1945.
En résumé, la liste du personnel du chantier s'est établie comme suit :
* Monsieur PFAFF : de 1936 à 1945.
* Monsieur CAPITAINE : Adjoint à Monsieur PFAFF de 1936 à 1945, Chef de Chantier de 1945 à 1946, Chef d'arrondissement depuis 1946.
* Monsieur BONNET : Adjoint à Monsieur PFAFF, de 1939 à 1942
* Monsieur FONTAN : Adjoint à Monsieur PFAFF, puis à Monsieur CAPITAINE à partir de 1937
* Monsieur DHONNEUR : Chef du laboratoire en 1938 et 1939 et adjoint à Monsieur CAPITAINE de 1948 à 1950
Par ailleurs, on trouvera ci-après la liste des conducteurs de travaux, surveillants, chefs d'équipe de régie, etc.
* Monsieur BOUROT : Conducteur de Travaux ( Barrage - Maquette - Pont de Vernéjoux ) du 01/10/1940 au 30/06/1948
* Monsieur SALAGNAC : Conducteur de Travaux ( Barrage ) du 06/10/1942 au 08/10/1948
* Monsieur IMBERNON : Conducteur de Travaux ( Barrage - Injections - Usine ) du 03/01/1942 au 30/04/1950
* Monsieur LOUBET : Surveillant ( Barrage ) du 12/01/1940 au 15/02/1948
* Monsieur RYCHEN : Surveillant ( Travaux préparatoires - Carrière de Valette ) du 27/07/1936 au 28/02/1949
* Monsieur MARTIN : Surveillant ( Travaux préparatoires ) du 16/09/1939 au 15/11/1942
* Monsieur COUDERC : Serveillant ( Carrière Aynes et Usine à béton ) du 25/03/1942 au 31/12/1948
* Monsieur VALIBUS : Surveillant ( Usine à béton ) du 08/04/1942 au 31/08/1947
* Monsieur MEUNIER : Surveillant ( Usine à béton ) du 01/12/1942 au 31/03/1947
* Monsieur LAQUEILLE : Dessinateur-Métreur ( Barrage ) du 01/08/1941 au 31/12/1948
* Monsieur OLIVIER : Conducteur de travaux ( usine et Barrage ) du 01/11/1940 au 30/09/1942
* Monsieur MASSON : Conducteur de travaux (Usine ) du 01/02/1941 au 31/01/1946
* Monsieur MAURY : Conducteur de travaux ( Usine ) du 29/10/1941 au 30/04/1945
* Monsieur PERIER : Conducteur de travaux ( Usine) du 03/01/1942 au 31/04/1947
* Monsieur PAQUET A : Aide-Conducteur de Travaux ( Usine ) du 01/07/1940 au 31/10/1950
* Monsieur CROUTE : Aide-Conducteur de Travaux ( Usine ) du 23/10/1944 au 15/16/1946
* Monsieur PAQUET j : Surveillant ( Travaux préparatoire et Usine ) du 01/06/1936 au 30/05/1949
* Monsieur MALBEC : Surveillant ( Usine ) du 07/12/1936 au 31/10/1950
* Monsieur GACHON : Surveillant ( Usine - Poste des transfos ) du 16/02/1937 au 30/09/1947
* Monsieur RAYNAL : Surveillant ( Montage conduites forcées et vannes) du 01/03/1940 au 31/01/1948
* Monsieur BREUIL : Surveillant ( Usine ) du 31/08/1942 au 31/10/1948
* Monsieur BESSOUAT : Conducteur de Travaux ( Cités - Routes - Pont de Saint-Projet ) du 01/05/1935 au 30/04/1947
* Monsieur BAYLE : Surveillant ( Cité ) du 17/08/1936 au 31/10/1948
* Monsieur MEJECAZE : Chef de Laboratoire du 10/11/1941 au 30/09/1943
* Monsieur DIERNAT : Chef de Laboratoire du 01/12/1941 au 31/12/1948
* Monsieur WULFART : Agent Technique ( Témoins sonores ) du 15/03/1944 au 15/06/1949
* Monsieur MARTINEZ : Chef d'équipe ( Travaux préparatoires - Galerie ) du 26/06/1936 au 04/09/1939
* Monsieur LAURENCIO : Chef d'équipe ( Travaux préparatoires - Galerie ) du 04/08/1936 au 21/12/1939
* Monsieur ALCON : Chef d"équipe ( Travaux préparatoire - Galerie ) et chef d'équipe Régie du 17/12/1936 au 31/10/1950
* Monsieur PEREIRA : Chef d'équipe ( Travaux divers de charpente ) du 21/12/1936 au 31/10/1950
* Monsieur TEULIÉ : Chef d'équipe (Travaux divers de charpente ) du 30/07/1937 au 30/09/1944
* Monsieur IMBAULT : Photographe du 01/07/1940 au 31/10/1950
Éloge funèbre d'un Léon Ballot qui pourrait bien être celui que vous cherchez?
http://clio.ish-lyon.cnrs.fr/patrons/Actr36131/Doc6040.pdf
Historique Sommaire du Bataillon FFI Didier (Barrage de l'Aigle) 1947
Fait et certifié André DECELLE
Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées
Ex . Commandant DIDIER
20 Mai 1944 Ordre de mobilisation générale des maquis FFI de la région R6 Auvergne tous confondus pour rejoindre les réduits constitués du Mont Mouchet, de la Truyère et du Lioran.
C'est à partir de là que les groupements ORA de Pleaux et du barrage ont rejoint début Juin le col de Néronne et le Puy Violent pour les Espagnols.
Les maquis AS - MUR et FTP ont rejoint les autres lieux cités où ils ont subi les attaques des allemands. La stratégie des réduits défensifs a été un échec, ramenant les chefs des maquis à la tactique de la guérilla.
"Gaspard" était Emile Coulaudon chef militaire des FFI pour la région Auvergne, sous les ordres de Henri Ingrand, Commissaire de la République Régional désigné par le GPRF du Général De Gaulle.
Le Colonel Fayard (Mortier) de l'ORA était chef d'état major régional de la Division FFI Auvergne.
Site internet de la commune de CHALVIGNAC (15)
Mairie de CHALVIGNAC
Maire Monsieur Serge LEYMONIE
Le 3 mai 2019 Les écoliers de Servières-le-Château visite le barrage
Inauguration Buron de la Résistance 2018
Salon du livre de Chalvignac 2015
Les Chemins de Chalvignac circuit des oiseaux (Barrage de l'Aigle)
Baptême de l'école primaire André Decelle (2011)
Le 19/06/2018 Inauguration du Buron de la Résistance
A Chalvignac (15)
Le Timbre
Édition Premier Jour le 2, 3 et 4 septembre
2016